CHANTEZ DES LOUANGES
"Et moi, je chanterai ta force ; au matin, j’acclamerai ta bienveillance. Car tu es pour moi une forteresse, un refuge au jour de la détresse. Ô ma force ! je psalmodierai en ton honneur, car Dieu est ma forteresse, mon Dieu bienveillant." Psaumes 59.17-18
Selon l'intitulé, David écrivit ce psaume "lorsque Saül envoya garder la maison, pour le faire mourir". David cria à Dieu pour lui demander d'intervenir et de le délivrer. Il savait que l'Éternel n'était pas impressionné par la puissance des armées. Dieu se rit des ennemis, il se moque "de toutes les nations". David avait cette certitude : Dieu est sa forteresse, son "Dieu bienveillant vient au-devant de [lui]", il lui "fait contempler [ses] détracteurs" (Psaumes 59.9-11).
Confiant en Dieu, David savait qu'il sortirait vainqueur. Et il était incapable de taire sa reconnaissance, mais se sentait poussé à célébrer les louanges de Dieu, à chanter sa force, à acclamer sa bienveillance au matin. Il chantait parce qu'il voulait exprimer ce qui était dans son cœur et parce que sa louange faisait participer son être tout entier : son intelligence et ses émotions, sa voix et son corps. Le chant lui permettait d'exprimer son soulagement et sa reconnaissance, ses actions de grâce et sa louange.
Aujourd'hui, quels que soient les problèmes auxquels vous êtes confronté, quelque désespérée qu'apparaisse votre situation, que vous soyez découragé, effrayé ou en souci, rappelez-vous que vous pouvez compter sur Dieu. Qu'il soit votre forteresse. Il connaît votre situation. Il vous aime et il est prêt à vous délivrer et à vous donner la victoire.
Célébrez-le par vos chants. Chantez sa bonté, sa fidélité et sa miséricorde. Chantez parce qu'il est votre refuge et votre forteresse. Chantez parce qu'il entend vos prières. Chantez ses louanges au matin, et la nuit. Chantez et acclamez son nom avec joie.
Une prière pour aujourd'hui
Père, tu es ma forteresse. Je te confie mes besoins. Merci pour tout ce que tu as fait pour moi. Rien ne pourra m'arrêter ! Je chante en l'honneur de ton nom. Tu es digne de louanges. Au nom de Jésus. Amen.
John Roos
CE QUE DIEU VEUT VRAIMENT DE VOUS
"Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes." Matthieu 11.28-29
La clé de ce repos se trouve au verset 29, qui nous dit de prendre son joug sur nous. Prendre son joug, c'est demander à Dieu de nous aider, puis agir selon ce qu'il nous aura montré. Nous soumettons notre volonté à Dieu, nous la conformons à la sienne et lui obéissons.
J'ai découvert que nos problèmes proviennent généralement de notre refus d'accepter des situations contre lesquelles nous sommes impuissants. Laissez-moi vous donner un exemple : pendant les premières années de notre mariage, j'étais quelqu'un de difficile à vivre, du fait d'abus subis dans mon enfance. Quand les choses ne se passaient pas comme je voulais, je me mettais en colère… et pouvais le rester très longtemps.
Je passais mon temps à penser à ce que Dave faisait qui me déplaisait, à ce que j'aurais aimé qu'il fasse, et aux changements que je souhaitais voir dans son comportement. Et aussi longtemps que j'essayais de changer Dave, mon âme n'était pas en paix. Or Dave est un homme de Dieu merveilleux, et exactement le mari qu'il me faut. Ce fut une grande révélation pour moi lorsque je compris que mon attitude me rendait malheureuse, alors qu'en réalité, Dieu m'avait donné précisément ce dont j'avais besoin. Et c'est alors que j'acceptai la volonté de Dieu pour mon mariage.
Lorsque nous fermons un domaine de notre vie à Christ au lieu de nous soumettre entièrement à lui, c'est un peu comme si nous "sortions avec Dieu" au lieu de l'épouser. Quand je sortais avec Dave, j'étais libre de faire ce que je voulais, d'aller et venir à ma guise et de dépenser mon argent quand j'en avais envie. Mais une fois mariée, je ne pouvais plus faire tout ce que je voulais, quand je voulais et comme je voulais, parce qu'il y avait quelqu'un d'autre dans ma vie. Ma volonté ne m'appartenait plus exclusivement.
Lorsque vous êtes marié à Jésus, vous ne vous appartenez plus – il vous a acquis à grand prix, racheté par son sang, et vous êtes désormais à lui (1 Corinthiens 6.19-20). Quand vous demeurez en Christ, vous ne pouvez pas mener votre vie comme vous l'entendez. Dieu veut que vous lui donniez tout ce que vous avez et tout ce que vous êtes. Il veut que vous dépendiez entièrement de lui pour qu'il puisse vous donner tout ce qu'il est et tout ce qu'il tient en réserve pour vous.
Dans Jean 17.10, Jésus dit : "tout ce qui est à moi est à toi, et ce qui est à toi est à moi". Voyez-vous, lorsque nous naissons de nouveau et commençons à vivre en Christ, il prend notre péché et fait de nous une nouvelle création (2 Corinthiens 5.17-21). J'appelle cela "le grand échange" :
- Je donne mon péché à Jésus, et il me donne sa justice.
- Je lui donne ma vie brisée et cabossée, et il me donne sa beauté.
- Je lui donne ma désespérance, et il me donne son espérance.
- Je lui donne ma tristesse, et il me donne sa joie.
- Je lui donne mon agitation intérieure et mon ancienne façon de vivre, et il me donne une nouvelle nature – la sienne – et sa paix.
Que pourrait-il exister de meilleur ?
Une action pour aujourd'hui
Si vous n'avez pas tout donné à Dieu, faites-le aujourd'hui. Dites-lui : "Seigneur, je t'aime et j'ai confiance en toi. Je ne veux plus te résister ou m'opposer à ta volonté pour ma vie. Je suis convaincu que tu changeras ce qui a besoin de l'être. Au lieu d'essayer de changer tout et tout le monde, je veux coopérer avec toi et te laisser me changer."
Joyce Meyer
"Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation." 2 Corinthiens 1.3
Lorsque j'étais enfant, ma belle-mère qui avait la main plutôt lourde envers moi me faisait passer de très mauvais moments. Chaque jour je subissais ses brimades, quelquefois c'était la simple "gifle" et d'autres fois les coups pleuvaient sur mon visage. Me sentant humilié, j'avais pris l'habitude de me réfugier dans la cave afin que personne ne me voie pleurer.
Inutile de vous décrire l'état dans lequel j'étais ! Pourtant, pendant ces moments douloureux, il n'était pas rare que Dieu vienne parler à mon cœur pour me consoler. Il me disait : "Ne pleure pas mon enfant, je t'aime !".
Grâce à ces simples mots, il réussissait à essuyer mes larmes et à me faire oublier l'instant présent. C'était vraiment merveilleux !
Être heureux : c'est l'une des plus grandes aspirations de l'homme qui désire l'être et le rester tout au long de son séjour sur terre. Malheureusement, ce n'est pas toujours le cas ! En effet, la Bible nous informe qu'il y a un temps pour tout dans la vie " un temps pour pleurer, et un temps pour rire... " (Ecclésiaste 3.4).
Cependant, Dieu nous transmet au travers des écritures un encouragement sans précédent : "C'est moi, c'est moi qui vous console..." (Esaïe 51.12). Assurément, Il est celui qui nous réconforte dans les temps d'affliction !
Vous vivez peut-être des moments de tristesse ? Vous vous sentez meurtri et fatigué de subir certaines réalités ?
Au-delà de tous ces faits, laissez-moi vous dire que Dieu voit et comprend votre chagrin. Il n'est pas insensible à votre détresse ! "Les yeux de l'Eternel sont sur les justes, et ses oreilles sont attentives à leurs cris" (Psaumes 34.15).
Prenez courage, votre Père céleste sera toujours présent à vos cotés, Il est là pour vous consoler, essuyer vos larmes et remplacer votre peine par sa paix et sa joie. "Je changerai leur tristesse en gaîté ; je les consolerai de leurs chagrins, je les remplirai de joie" (Jérémie 31.13).
Une prière pour aujourd'hui
Seigneur, tu connais mes peines et mes chagrins et je te demande en ce jour de venir à mon secours afin de me débarrasser de toute forme de tristesse. Amen.
Yannis Gautier
REMPORTER LE PRIX
"Courez pour gagner le prix !" 1 Corinthiens 9.24
Dans l'Empire romain, les athlètes ne portaient qu'un simple pagne afin que rien ne les empêche de courir le mieux possible. À ce propos, Paul a écrit : "Au stade, tous les coureurs font la course, mais un seul gagne le prix. Vous ne savez donc pas cela ? Alors courez pour gagner le prix ! Tous les sportifs s'entraînent, en se privant de beaucoup de choses. Eux, ils le font pour gagner une récompense qui ne dure pas, nous, c'est pour une récompense qui dure. C'est pourquoi, moi, je cours" (1 Corinthiens 9.24-26).
Et vous ? Vous contentez-vous de participer ou courez-vous pour gagner ? Pour devenir ce pour quoi Dieu vous a racheté et appelé, vous devrez abandonner certaines choses même légitimes et en entreprendre d'autres qui vous permettront d'atteindre votre objectif.
Parfois, il faudra dire non à des gens, pourtant bien intentionnés, qui voudront vous impliquer dans des activités qui vous accapareront et vous mèneront à l'échec. D'autres fois, il sera nécessaire de dire non au péché qui vous enveloppe si facilement (Hébreux 12.1).
Lorsque Dieu juge qu'une chose est mauvaise, c'est qu'elle est mauvaise ! Nul besoin de rationaliser, de chercher des excuses ou de vous apitoyer sur vous-même. Vous n'avez qu'à accepter, demander pardon et arrêter. Qui remportera le prix ? Ceux qui auront accepté de payer le prix !
Une action pour aujourd'hui
Paul savait qu'il ne pouvait pas remporter la course sans placer son corps, son esprit et ses sentiments sous le contrôle de l'Esprit de Dieu. Il en sera de même pour vous. Et vous ne pouvez pas demander à quelqu'un d'autre de vous forcer à faire le bien. C'est à vous d'écouter Dieu et d'agir.
Bob Gass
MAIS OU EST DIEU ?
"L'un d'eux, nommé Cléopas, lui répondit : es-tu le seul qui, séjournant à Jérusalem ne sache pas ce qui y est arrivé ces jours-ci ?" Luc 24.18
Les deux disciples concernés dans ce texte étaient si attristés qu'ils ne reconnurent pas Jésus alors qu'il marchait avec eux.
Se sentir seul et abandonné est très éprouvant à vivre. C'est alors que nous avons l'impression de faire face aux difficultés de la vie sans armes et avec la certitude d'être vaincu à l'avance. Un peu comme Élie qui ne vit aucune autre solution que de demander la mort alors que Dieu était loin d'en avoir fini avec lui (1 Rois 19.2-8).
Perdre l'espérance des promesses de Dieu durant notre marche de tous les jours est une réalité dont nous pouvons tous faire l'expérience mais ce n'est pas ce que Dieu souhaite pour vous. Il désire que vous réalisiez chaque jour qu'il est avec vous et qu'il continue à marcher à vos côtés malgré ce que vous pouvez voir et entendre. C'est d'ailleurs ce qu'il nous dit dans sa Parole : il est le seul à vous sonder parfaitement et à savoir où vous en êtes réellement (Psaumes 139.13), il continue de s'occuper de votre avenir (Jérémie 29.11), il ne vous lâche pas et n'a pas du tout l'intention de le faire (Matthieu 28.20) !
Une action pour aujourd'hui
Placez votre foi dans les paroles de Jésus qui s'adresse à vous encore aujourd'hui. Saisissez ces promesses et accrochez-vous aux paroles qui bénissent votre âme ; et que votre cœur brûle tout à nouveau à l'écoute de sa voix.
Fabrice Devred
"Que parmi vous, tout se fasse avec amour." 1 Corinthiens 16.14
Voici l'un des principaux secrets pour que Dieu bénisse votre travail : aimez vos collègues. Même s'ils sont irritables, s'ils ne vous apprécient pas, s'ils se moquent de vous, s'ils vous rabaissent parce que vous êtes chrétien, vous devez rester leur ami.
Pourquoi cette attitude est-elle une clé de la réussite ? Parce que la leçon numéro un de la vie, la raison essentielle pour laquelle Dieu vous a placé sur la terre, est que vous appreniez à aimer. Dieu est amour et il veut que vous lui ressembliez.
Il est facile d'aimer ceux qui sont sympathiques, ceux qui sont d'un commerce agréable. C'est pourquoi, pour vous apprendre à aimer vraiment, sachez que Dieu va vous placer avec des personnes difficiles à aimer.
"Que tout parmi vous se fasse avec amour" (1 Corinthiens 16.14). Ce commandement s'applique au bureau, dans la voiture, quand vous prospectez des clients – partout. La bonne nouvelle est que ce n'est pas si difficile que cela. On sous-estime souvent le pouvoir d'un mot gentil, d'un sourire, d'une tape amicale dans le dos, d'un compliment sincère, d'une parole d'encouragement ou d'une oreille attentive.
J'ai vu beaucoup de vies changées grâce à un peu d'attention de la part d'autrui. Il n'est personne dans ce monde qui n'ait soif d'attention. Mais un être qui se soucie sincèrement des autres est difficile à trouver.
L'apôtre Paul a dit : "Car je n'ai personne qui partage mes sentiments, pour se soucier sincèrement de votre situation" (Philippiens 2.20). Est-ce le cas sur votre lieu de travail ? Ou chacun recherche-t-il ses propres intérêts au lieu de se préoccuper de ceux des autres ? Ceux qui sont vraiment soucieux des autres restent conscients de ceux qui les entourent.
Une action pour aujourd'hui
Pensez à un collègue qui a probablement besoin d'un geste ou d'un mot gentil. Comment allez-vous lui montrer cette semaine qu'il compte pour vous ?
Rick Warren
"C'est en Jésus que vous avez été instruits à vous dépouiller, eu égard à votre vie passée, du vieil homme qui se corrompt par les convoitises trompeuses, à être renouvelés dans l'esprit de votre intelligence, et à revêtir l'homme nouveau, créé selon Dieu dans une justice et une sainteté que produit la vérité." Ephésiens 4.21-24
Tout au long de la Bible, nous voyons l'illustration d'une vérité importante : le Saint-Esprit libère sa puissance dès l'instant où vous faites un pas de foi.
Quand Josué fut confronté à un obstacle infranchissable, les eaux du Jourdain ne se séparèrent que lorsque les sacrificateurs posèrent la plante des pieds dans le courant dans un acte d'obéissance et de foi. L'obéissance libère la puissance de Dieu.
Dieu veut que vous fassiez le premier pas. N'attendez pas de vous sentir fort ou sûr de vous. Avancez dans votre faiblesse et faites ce qui est juste en dépit de vos craintes et de vos sentiments. C'est ainsi que vous coopérez avec le Saint-Esprit et que votre caractère s'affermit.
La Bible compare la croissance spirituelle à une graine, un édifice ou un enfant qui grandit. Chacune de ces métaphores implique une participation active : une graine doit être semée et soignée, un édifice doit être construit – il ne sort pas tout seul de terre – et les enfants ont besoin de manger et de bouger pour grandir.
Si les efforts n'entrent pour rien dans votre salut, ils jouent un grand rôle dans votre croissance spirituelle. À au moins huit reprises, le Nouveau Testament nous exhorte à nous "efforcer" de grandir à la ressemblance de Jésus (Luc 13.24; Romains 14.19; Éphésiens 4.3; 2 Timothée 2.15; Hébreux 4.11;Hébreux 12.14; 2 Pierre 3.14).
Il ne s'agit pas d'attendre passivement ! Dans Éphésiens 4.21-24, Paul explique les trois étapes pour devenir comme Christ.
Premièrement, nous devons décider de renoncer à notre ancienne manière de vivre : "[…] vous dépouiller […] de la vieille nature qui se corrompt par les convoitises trompeuses" (Éphésiens 4.21-22).
Deuxièmement, nous devons changer notre façon de penser : "être renouvelés par l'Esprit dans votre intelligence" (Éphésiens 4.23). La Bible affirme que nous sommes "transformés par le renouvellement de l'intelligence" (Romains 12.2).
Le mot grec traduit par "transformés", metamorphosis (employé dans Romains 12.2 et 2 Corinthiens 3.18) est utilisé aujourd'hui pour décrire la mutation spectaculaire de la chenille en papillon. C'est une belle image de ce qui nous arrive sur le plan spirituel lorsque nous laissons Dieu diriger nos pensées : nous sommes changés depuis l'intérieur, nous devenons plus beaux et libres dès lors de nous élancer vers de nouveaux sommets.
Troisièmement, nous devons revêtir le caractère de Christ en acquérant de nouvelles habitudes agréables à Dieu. Votre caractère est essentiellement la somme de vos habitudes ; c'est votre façon de vous comporter en général. La Bible dit : "Revêtez-vous de la nouvelle nature, qui est créée à la ressemblance de Dieu et se manifeste dans la vie juste et sainte qu'inspire la vérité" (Éphésiens 4.24).
Une action pour aujourd'hui
Ne stagnez pas dans votre croissance spirituelle. Faites un pas de foi et acceptez de coopérer avec le Saint-Esprit afin de grandir à la ressemblance de Jésus.
Rick Warren
"Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et accablés, vous qui êtes déprimés, parce que vous ployez sous un fardeau trop lourd, et je vous donnerai du repos." Matthieu 11.28-29
Beaucoup de gens semblent stressés, exténués, dépassés par les événements et fatigués par les exigences de la vie. Or, en Christ, il est possible de jouir du repos de Dieu et d'être libéré du fardeau du stress et de l'inquiétude.
Le repos dont Jésus parle dans Matthieu 11.28-29 n'est pas le répit après le travail. C'est un repos intérieur – pour votre esprit, votre volonté et vos émotions – que vous pouvez expérimenter tout en vaquant à vos occupations quotidiennes. Commencez par venir à Dieu et humiliez-vous devant lui. Puis prenez son joug sur vous, c'est-à-dire demandez à Dieu de vous aider et de vous donner sa force, et cela quels que soient les défis qui vous attendent. Ensemble, Dieu et vous pourrez alors faire face à tout ce qui se présentera.
La vie n'est pas toujours rose, et lorsque nous sommes confrontés à des situations difficiles, Dieu veut que nous placions notre confiance en lui et attendions de lui sagesse et force. Je fais souvent cette prière : "Seigneur, aide-moi, s'il te plaît." Et je me rappelle Jean 15.5 qui dit que sans Jésus nous ne pouvons rien faire, mais qu'avec lui, tout est possible.
Que vous soyez fatigué par les exigences de la vie de tous les jours ou face à un problème, le mieux que vous puissiez faire est de tout remettre à Dieu et de recevoir son repos.
Rien n'échappe au contrôle de Dieu. Prenez la décision de croire Dieu et sa Parole par-dessus tout. Dieu sait toutes choses. Il connaissait tout de vous avant même qu'il ne vous ait invité à entrer dans une relation personnelle avec lui – toutes vos pensées, vos paroles, vos péchés, vos actes, passés, présents et futurs. Et il avait déjà tout prévu pour vous restaurer et vous aider à résoudre vos problèmes avant même qu'ils ne surgissent.
Une action pour aujourd'hui
Prenez le joug de Jésus sur vous aujourd'hui. Dites-lui : "Seigneur, j'ai confiance en toi. Je sais que tu m'aimes. Je ne sais ni ne comprends pas toujours ce que tu vas faire ou comment tu vas le faire, mais je refuse de m'inquiéter." Le secret d'une vie sans stress est aussi simple que cela !
Joyce Meyer