« C’est dans le calme et la confiance que sera votre force. »
Esaïe 30.15

Lorsque l'on étudie de près le profil des grands sportifs, ceux qui ont marqué leur génération par leurs succès, ce qui impressionne le plus, c'est justement leur calme face à l'adversité ! Ils peuvent être menés, dépassés, attaqués de partout, et malgré tout ils conservent leur calme.
Ne fuyez pas, mais regardez votre adversaire en face et affrontez votre géant !
À l'inverse, on peut constater que lorsqu'une personne réagit face à certains événements par la panique ou l'énervement, le résultat est la perte de maîtrise de soi, qui ne peut mener qu'à l'échec tôt ou tard ! Cependant, être "zen" ne suffit pas, quand bien même cela déplairait à nos amis adeptes du bouddhisme.

 La paix véritable, en ce qui concerne les croyants, est l'aboutissement de leur intimité avec les choses célestes, de leur fréquentation du lieu secret, de leurs habitudes avec Dieu. C'est parce que vous aurez atteint une relation intime et profonde avec Dieu que vous ne paniquerez pas quand l'orage arrivera, ou la tempête s'abattra sur votre vie, et même si l'adversité vous submergeait comme un fleuve, mais vous puiserez vos forces en Dieu en attendant son intervention.
Autre gage du succès : la confiance !

Beaucoup de ces sportifs décrits plus haut ont une très grande confiance en leurs capacités à retourner la situation. Pour vous, croyant, pas question de placer votre confiance en vous-même, mais de vous souvenir que par le passé, dans des circonstances similaires, Dieu vous a toujours secouru juste au bon moment. La confiance, c'est la foi, mais c'est un peu plus que le fait de croire.

On pourrait dire que la confiance décrite ici, c'est la foi et la fidélité qui sont fiancées. Vous savez que vous ne pouvez douter du fait que Dieu s'occupe de cette tempête-là et qu'il va la calmer !
Il est si important de comprendre que les mécanismes du succès ne sont autres que le calme et la confiance ! D'ailleurs l'une engendre l'autre et l'un entretient l'autre. Votre force, aujourd'hui au 21ème siècle, c'est encore et toujours là que vous la puiserez.

N'ayez plus peur, ne paniquez plus, ne vous laissez plus effrayer ; lorsque de tels sentiments s'emparent de vous, chassez-les dans le nom de Jésus, afin de retrouver votre sérénité. Ne fuyez pas, mais regardez votre adversaire en face et affrontez votre géant ! Confrontez-vous à la réalité, aussi difficile soit-elle actuellement, et laissez Dieu vous venir en aide au moment qu'il a déjà choisi. N'oubliez pas, il est celui qui connaît vos limites et il ne vous éprouvera pas au-delà de vos forces.

Une prière pour aujourd'hui

Seigneur, je veux apprendre à vivre dans cette dimension-là. Si souvent, j'ai paniqué face à mon adversité et ma confiance était quasi inexistante ! Ce secret-là, je le veux dans ma vie ! Au nom de Jésus. Amen.

Samuel Foucart

"Tu fais plier sous moi mes adversaires." Psaume 18.40 et 2 Samuel 22.40

Au-delà d'un simple et glorieux constat, David est aussi dans le registre de la confession de sa foi. À cause du passé où il peut témoigner de la délivrance de ses adversaires, sa foi est en droit de confesser les victoires à venir, et il ne s'en prive pas ! Et vous ?
Seigneur, je revêts les habits de deuil de mes adversaires. Je confesse que c'est toi qui défends ma cause.

Peut-être faut-il préciser très vite, pour éviter tout malentendu, que bien sûr, un chrétien n'a ni adversaire, ni animosité entretenue volontairement contre qui que ce soit ! Malgré tout, pas besoin de vouloir provoquer l'adversité pour la rencontrer et la subir. Il y a ainsi des gens qui ne vous aiment pas et qui vous le font comprendre ouvertement.
Je ne sais pas si vous connaissez l'équipe de rugby des All Blacks - littéralement "les tout noirs"- jouant toute vêtue de noir, d'après la légende du moins, parce qu'elle porte le deuil de ses adversaires ! J'aime beaucoup cette approche des choses !

Il faut savoir que la Nouvelle-Zélande est un pays fortement marqué par le Protestantisme et que la foi évangélique y est répandue partout. Pas étonnant que même jusque dans la pratique du sport, elle influence les attitudes ! Faites-moi grâce du haka dont les origines culturelles et guerrières n'ont, elles, rien d'évangélique.

Pourquoi ne porteriez-vous pas le deuil de vos adversaires, non pas en vous habillant tout en noir, couleur du deuil en occident, mais en confessant leur défaite. Souvent, face à notre adversité, nous sommes impressionnés, accablés, déprimés voir affolés et ce peut être légitime ! Arrêtez-vous, venez dans la présence de votre Dieu. Les mensonges, les calomnies, les insinuations, font qu'aujourd'hui vous êtes incapable de répondre, de vous défendre.

Tout le monde vous regarde d'un mauvais œil et vous ne savez pas comment prouver votre bonne foi. Votre adversaire ment à votre sujet et c'est vous qui passez pour un menteur.
Malheureusement, c'est tellement classique ! Ne vous inquiétez pas, décidez de porter le deuil du menteur ! Vous avez l'impression que des liens sont placés sur votre vie et que plus vous essayez de vous en défaire, plus ils se resserrent ! Laissez Dieu délier la vérité et vous, contentez-vous de porter le deuil de l'adversaire ! Confiez-vous en celui qui défend votre cause, ce sera tellement mieux !

Une confession de foi pour aujourd'hui :

Seigneur, je revêts les habits de deuil de mes adversaires. Je confesse que c'est toi qui défends ma cause. Moi, je laisse les mensonges, les insinuations, les soupçons de mon ennemi à ton trône de grâce et je proclame la défaite de mon adversaire !

Samuel Foucart

Seigneur : Montre-moi ce qui te déplaît dans ma vie

"Toutefois les hauts-lieux ne disparurent pas !" 2 Rois 22.44

Cette phrase revient comme une litanie tout au long de l'histoire des rois d'Israël et de Juda. Même un Salomon - dans la première partie de son règne - ou un Josaphat de qui il est dit le plus grand bien, ne supprimèrent pas les hauts-lieux qui irritaient Dieu. Je me suis souvent demandé pourquoi ces réformateurs n'étaient pas allés au bout de leur logique. Cette histoire de hauts-lieux est agaçante. Les supprimer n'aurait pas été hors de leur pouvoir ! Finalement la réponse n'est-elle pas qu'ils ignoraient à quel point Dieu s'en irritait ?
"Montre-moi ce qui te déplaît, t'irrite dans ma vie et qui aurait pu m'échapper Seigneur !"

Il y a des choses évidentes qui, dans votre vie et la mienne, ne sont pas à la gloire de Dieu. Là, nous le savons et j'espère que vous et moi travaillons à régler ce qui doit l'être en réformant nos voies et nos œuvres. Mais n'y-a-t-il pas quelques "hauts-lieux" qui vous échappent ? Des choses, des fréquentations, des habitudes - sans qu'elles soient mauvaises à priori - des propos etc. qui sont comme des hauts-lieux irritant Dieu, déplaisant fortement au Seigneur !

Ne peut-il pas dire sur ma vie comme sur la vôtre : "Samuel Foucart a réformé ses voies dans tel domaine ou tel autre…..mais tel haut lieu n'a pas disparu de sa vie !" ? Il y a comme une pointe de déception qui semble apparaître là, bien que je sois convaincu que Dieu n'est jamais déçu de l'être humain qu'il connaît si bien !
N'empêche ! Oseriez-vous, sans crainte, sans appréhension, parce que votre Dieu est le Dieu d'amour, de bonté, de compassion, et de grâce, faire monter vers lui cette prière : "Montre-moi ce qui te déplaît, t'irrite dans ma vie et qui aurait pu m'échapper Seigneur !" Vous êtes si souvent prêts à réformer des choses que Dieu ne vous demande pas de réformer. Mais là, il y a un challenge spirituel de taille à relever. Qui osera cette prière ? Mais attention, lui, va vous répondre assurément !

Une prière pour aujourd'hui :

Parce que tu es le Dieu qui aime, je sais pouvoir sans aucune crainte, te demander de me révéler ce qui dans ma vie te déplaît, t'irrite ou suscite ta sainte jalousie. Merci de parler à mon cœur Seigneur. Amen.

Samuel Foucart

LA GRANDEUR DANS LE BRISEMENT

« Malheur à moi je suis perdu car je suis un homme aux lèvres impures. » Esaïe 6.5

« Si cet homme était vraiment un prophète, il saurait quelle est cette femme qui le touche, que c’est quelqu’un qui mène une vie de débauche. » Luc 7.39
Quel rapport entre cette pauvre malheureuse de l'évangile et le « grand » prophète Esaïe ? La grandeur liée à leur brisement intérieur ! L'un et l'autre sont brisés devant le Dieu magnifique, créateur, saint, juste et bon. Ils n'ont plus rien à dire, ils ont conscience de leur misère et ils la confessent d'une manière ou d'une autre.

Ils n'ont plus envie de répondre aux autres, ni de se défendre, d'argumenter, ni de se trouver des excuses. Ils vivent un brisement magnifique, celui qui permet à la véritable adoration de se répandre du cœur de l'être humain. Ces gens sont beaux dans leur brisement !
N'ayez pas peur de ce genre de brisement intérieur où plus rien ne compte que la personne de Dieu.

Regardez cette pauvre dame, avec sa vie de misère, mais la nôtre est-elle meilleure ? : même les attaques et le mépris des autres ne l'atteignent plus.

 Ce qu'elle veut c'est plus de Jésus dans sa vie ! Il n'y a plus de place pour autre chose ! Son brisement la rend si grande !
À côté, ce religieux bon teint est finalement inaccessible à cette expérience de brisement : bien trop fort, bien trop grand, bien trop sûr de lui et de sa religion, lui , être brisé, mais pourquoi ? Alors il juge, il condamne, il méprise ! Pauvre Monsieur !

N'ayez pas peur de ce genre de brisement intérieur où plus rien ne compte que la personne de Dieu.

 Lorsque le bon esprit de Dieu agira en vous à ces fins, ne rejetez pas cette expérience, ne la redoutez pas, recherchez là au contraire ! N'est-ce pas David, qui s'y connaissait en la matière, qui écrira : « O Dieu, tu ne dédaignes pas un cœur brisé et contrit » (Psaume 51.19) ! C'est encore la vérité !

Quelles que soient les raisons qui vous brisent aujourd'hui, votre péché, une trahison, une déception, une injustice, une si mauvaise nouvelle ou le retour de vos complexes, ce matin, venez au trône de la grâce parler au Sauveur de votre brisement ! Et peut-être même ne rien dire, être juste là en silence !

Une prière pour aujourd'hui

Je viens avec mon cœur brisé Jésus !

Samuel Foucart

« La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et on battu cette maison : elle est tombée, et sa ruine a été grande. »  Matthieu 7.27

Je sais très bien que les glissements de terrain peuvent avoir diverses sources. N'empêche que la plus connue et la plus répandue est bien l'impossibilité pour la terre d'absorber l'eau. C'est la cause principale. Un petit crachin peut alors être le déclencheur d'une accumulation et d'une saturation de la terre et là, le glissement de terrain se produit avec des dégâts matériels que vous imaginez, un coût économique souvent énorme et des vies humaines brisées.
Arrêtez-vous ! Personne n'est assez important sur la terre pour en arriver là !

Il est possible de résumer la chose ainsi : La saturation provoque l'instabilité ! Ce qui est vrai pour la terre, pour la nature, pour l'environnement, ne le serait pas pour votre vie ? Atteindre ses limites, moralement, psychologiquement, physiquement parlant et ne pas s'en apercevoir va sans doute provoquer tôt ou tard un phénomène de saturation chez vous. Alors la porte s'ouvre sur n'importe quelle forme d'instabilité : cela ira de l'irritabilité au péché le plus incompréhensible pour vous et votre entourage en passant par une incapacité à contrôler votre vie, vos choix et vos projets !

Être sans cesse sollicité, par les autres, et là les moyens modernes accélèrent encore le processus, par leurs peines, leurs souffrances, leurs chagrins ou leurs épreuves finira naturellement par provoquer une érosion de votre esprit, une fatigue de votre mental, une saturation de vos pensées et là tout devient possible pour le pire !
Arrêtez-vous ! Personne n'est assez important sur la terre pour en arriver là ! Certes, on vous fait confiance, on vous attend sur tel ou tel point, il est question de vous pour tel projet ou tel évènement. Accepterez-vous d'entendre qu'il est arrivé le temps de dire STOP ?

Vous saturez et l'instabilité vous menace.
Il n'y a pas de méthodes ou de formules toutes faites que je pourrais vous livrer en pack par le biais de ce texte ! Ce serait trop beau ! Et puis, moi aussi je dois apprendre à éviter la saturation. C'est à vous de comprendre et de gérer votre piété, votre ministère, votre vie de tous les jours en refusant le stress inutile, la culpabilité malveillante que certains n'hésiteront pas à vous jeter à la face. Si vous ne voulez pas voir la maison s'écrouler, remettez de l'ordre dans votre vie, dans votre agenda, dans vos priorités, dès aujourd'hui !

Une prière pour aujourd'hui

Seigneur, vient m'aider à remettre de l'ordre dans ma vie. Au nom de Jésus je prie. Amen.

Samuel Foucart

"Ses serviteurs creusèrent un autre puits, au sujet duquel on chercha aussi querelle, et il l’appela Sitna." Genèse 26.21

Même un homme de paix, aussi tranquille que pouvait l'être Isaac, n'est pas à l'abri des querelles. Elles étaient provoquées par des personnes avec lesquelles il est impossible d'être en paix, comme le soulignera plus tard l'apôtre Paul (Romains 12.18).

Les querelles n'arrivent jamais par hasard.

Le nom des puits creusés par Isaac est significatif : "Esek" c'est "la dispute" et "Sitna" évoque l'idée d'accusation. Vous devez considérer que ce second nom a la même racine que le nom de Satan. C'est toujours à lui que les querelles profitent.

Vous devez éviter les querelles, mais lorsqu'elles sont là bien malgré vous, que faire ? Isaac continue de travailler. Il ne se décourage pas, cela ne vaut finalement pas la peine ! Jamais les querelles que l'on a provoquées avec vous ne doivent vous arrêter, ce serait trop simple. Dépassez-les ! "Il se transporta de là…" nous apprend le texte de la genèse.
Vous devez noter aussi que les querelles n'arrivent jamais par hasard. Isaac et ses collaborateurs effectuent un travail important : l'eau dans le désert, c'est juste vital !
Et c'est là que les querelles éclatent. Ne nous faisons guère d'illusions sur leur origine, encore une fois !
Ne perdez pas pied face à une autre querelle, à d'autres querelleurs. Réhoboth finit toujours par arriver ! La victoire de Dieu, la "mise au large", est pour ceux et celles qui se confient en Dieu. Soyez de ceux-là !

Je voudrais terminer en précisant, que juste après les querelles, la prospérité arrive ! Et là non plus ce n'est pas le fruit du hasard ! Si la querelle reste l'une des armes favorites de votre adversaire le diable pour vous inquiéter, vous diviser, vous empêcher d'être efficace, pour les Isaac d'aujourd'hui, elle ne pourra jamais arrêter la bénédiction de Dieu de se manifester !
Les querelles existent, pourquoi le nier ? Elles sont toujours regrettables ! Mais la victoire de Dieu dans notre vie sur les querelles, est aussi notre lot ! Ne leur donnez pas raison, mettez-les au trône de Dieu et ne vous en occupez plus.

Une décision pour aujourd'hui :

Seigneur, je suis fatigué de ces querelles. Je n'en veux plus dans ma vie. Non seulement je refuse d'en provoquer, mais je refuse d'y participer d'une quelconque façon.

Samuel Foucart

"Je suis calme et tranquille comme un enfant sevré qui se trouve avec sa mère." Psaume 131.2

Connaissez-vous ce Dieu là ? Le Dieu des petits ! Pour le connaître il faut avoir renoncé à toute forme de grandeur humaine, intellectuelle, spirituelle.

N'oubliez jamais que le royaume de Dieu est réservé aux...petits !
La notion de "grand" et de "petit" est pour le moins relative. Nous sommes tous petits par rapport aux "grands de ce monde" par exemple ! On est tous le "petit" de quelqu'un finalement ! Mais ces "prétendus grands de ce monde" sont bien petits au regard du Dieu tout puissant !
Vous vous souvenez peut-être de votre passage du CM2 à la classe de 6° ? Vous êtes passé du stade de "grand" en primaire, à celui de "petit" au collège !

Tout le message de la Bible me montre que Dieu aime les petits ! Ne parlez plus jamais du grand apôtre Paul, c'est ignorer ce que signifie son nom : "Petit" et surtout son message : "je suis le moindre des apôtres" (1 Corinthiens 15.9).
Ne vous faites aucune illusion sur votre nature humaine et sur celle des autres. Elle recherche toujours une forme de grandeur ou une autre, alors que Dieu recherche des petits pour les utiliser à sa gloire !
Souvenez-vous que tant que Saül a été petit à ses propres yeux, il a été utile (1 Samuel 15.17). L'orgueil, l'ambition humaine, la vanité l'ont conduit à s'émanciper de Dieu. Il est devenu grand à ses propres yeux. C'est ce qui précipitera sa chute ! Ne lui ressemblez jamais !

Celui que vous avez peut-être baptisé le "grand prophète Moïse" était assez petit pour être caché au creux d'un rocher (Exode 33.22). Dieu n'aurait pas pu cacher un grand dans ce creux-là !
Votre intimité avec Dieu, votre proximité avec lui vous apprendront d'une part à rester "petit" devant lui et d'autre part face aux autres et à vous-même !
J'aime particulièrement ce Psaume des petits : "Je ne m'occupe pas de choses trop grandes…". L'humilité des petits, cet état de cœur bien particulier est mis ici en évidence. Dieu aime trouver ces sentiments là chez vous.

N'oubliez jamais que le royaume de Dieu est réservé aux...petits !

Une prière pour aujourd'hui :

Seigneur, il m'est arrivé trop souvent de me laisser gagner par l'ambition ambiante. Je me suis éloigné de cette attitude de cœur qui fait que tu es mon Dieu et que je ne dépends que de toi. Viens m'aider à garder mes distances avec la grandeur de cette terre.

Samuel Foucart

2 Timothée 3-2

C’est une plaie pour l’humanité que l’égoïsme. A un petit enfant à qui l’on demandait de définir ce sentiment, sa réponse fut celle-ci : « Un égoïste, c’est quelqu’un qui ne pense pas à moi… » !

L’Evangile de Jésus-Christ nous permet de vaincre, par la foi, notre propre égoïsme et par là même de le faire reculer d’autant dans notre société.

Ces quelques lignes qui suivent nous y aideront sûrement :
« Il ne s’agit pas d’être heureux, mais de rendre heureux. Il ne s’agit pas d’être aimé, mais d’aimer et d’être en bénédiction à d’autres. Il ne s’agit pas de jouir, mais de partager avec notre prochain. Il ne s’agit pas de défendre son opinion, mais de renoncer à soi. Il ne s’agit pas de trouver sa propre satisfaction, mais d’être comblés lorsque nous satisfaisons l’autre ! »

Avec Jésus dans ma vie, ce n’est plus « Moi d’abord », mais « Dieu d’abord » ! Les autres ensuite, et « moi enfin » ! Ainsi, tout est équilibré, stable et juste.
A mort l’égoïsme, vive l’Evangile.

Samuel FOUCART